ROYAL GOLF DE FES



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Le décor: la campagne avec vue sur les cimes du Moyen Atlas, la matière une magnifique oliveraie. L'architecte Cabell B.
Robinson. Il s'en est donné à coeur joie : accentuant le vallonnement naturel du terrain pour multiplier les fairways bombés, ondulants, les greens insidieusement inclinés...
jouant avec le grand lac, l'étirant, le triplant pour mieux régaler les joueurs...
agrémentant les greens de toute une batterie d'éléments défensifs,
arbres, eau, bunkers, bunkers géants, monumentaux, le plus grand atteint 1200 mètres carrés !..Une altitude de 700 mètres qui adoucit des étés fassis, une vue imprenable sur les cimes du moyen- Atlas, des paysages vallonnés semés de lacs,
tout concourt, outre l’agrément d’un parcours riche en obstacles passionnants, au plaisir des golfeurs, confirmés ou non.

Avec six lacs, l’eau est omniprésente sur le parcours, surtout sur le trou n° 3-son green est encadré par deux lacs – le n°4 deux lacs doivent être traversés lors du drive – le n° 9 un lac sur la droite à tombée du drive – et le n° 18 – un lac à traverser au deuxième coup.

Les bunkers créent judicieusement quelques piéges intéressants le plus grand est de 1200m2 cernant le green, rend particulièrement délicat le trous n° 8,
le trous n° 16 , quant à lui, n’en comporte pas moins de treize dont neuf défendent bien le green.

Les arbres bien rangés guideront la plupart du temps vos trajectoires.
Sur le trou n ° 9, votre deuxième coup devra cependant passer au-dessus d’un grand mûrier, tandis que sur le n°14 en dog leg à droite,
vous devrez impérativement jouer sur la gauche si vous ne voulez pas vous retrouver devant un mur d’arbres.

Les fairways, naturellement vallonnés, vous obligeront parfois à jouer des coups techniques avec les pieds en pente, comme au n° 13, par exemple, tout en montée face à l’Atlas.

Un bon coup d’approche est souvent nécessaire en raison des formes variées des greens. Citons entre autres un n° 2 étroit, un n°6 et un n° 16 surélevés, un n°10 large et en contrebas.
Sur le n°11 – très vallonné – et le trou n° 17 est de 1000 m2 en devers vers le lac – il vous faudra prendre le temps de bien lire les pentes.
Le trou le plus difficile ? Indiscutablement le n°18, très long et exigeant la traversée d’un lac. En revanche, le n° 5, un par 4 dessiné de façon naturelle, le n° 7- par 4 – et le n° 12 – par 3 – ne présentent pas de difficulté majeure.